Alors que l’inflation a de nouveau dominé les marchés au T4 2021, un nouveau mot lui a presque volé la vedette : Omicron. Ce variant du coronavirus identifié par des scientifiques sud-africains s’est rapidement propagé. Les différents pays du monde ont cédé à la panique, interdisant l’entrée sur leur territoire à tous les voyageurs en provenance d’Afrique subsaharienne, y compris à ma famille qui devait venir pour Noël, écrit Pauline Grange.
Bonne nouvelle : l’année 2021 a été marquée par de nombreuses évolutions positives s’agissant des enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. Source : iStock.
Les marchés ont dans un premier temps chuté, les investisseurs craignant de plus en plus que cette énième vague de Covid-19 ne frappe à nouveau les économies à travers le monde. Mais à mesure que les médias se faisaient l’écho du caractère moins virulent d’Omicron, un nouveau discours est apparu : la pandémie de Covid-19 pourrait laisser la place à une situation endémique plus facile à gérer. C’était une bonne nouvelle pour la croissance économique mondiale, les marchés… et la visite de ma famille qui est redevenue envisageable.
Mais avec une inflation toujours plus élevée au cours du trimestre, la Réserve fédérale américaine a cessé de qualifier la hausse des prix de « transitoire » et promis l’amorce d’un resserrement monétaire.
La perspective d’un resserrement des politiques monétaires par les banques centrales à travers le monde a entraîné un retournement des marchés et une rotation des valeurs de croissance à plus long terme vers les titres value à plus court terme. Cette rotation amorcée à la fin du trimestre s’est accélérée début 2022. Au cours de cette période délicate, la stratégie Sustainable Outcomes Global Equities est parvenue à surperformer l’indice de référence au quatrième trimestre, avec une hausse de 7,1% (avant imputation des frais) contre 6,3% pour le MSCI ACWI.
Abstraction faite des perturbations des chaînes d’approvisionnement, des pénuries de main-d’œuvre, des crises énergétiques et des variants du Covid-19, l’année 2021 a de nouveau été riche en évolutions positives s’agissant des enjeux ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) : l’adoption du projet de loi bipartite sur un plan de 1.200 milliards de dollars en faveur des infrastructures aux Etats-Unis et du Pacte vert de l’UE doté de 1.000 milliards d’euros, l’entrée en vigueur du règlement européen sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (SFDR), la publication de la taxonomie européenne des activités durables et, enfin, la COP26 qui a rassemblé les chefs d’Etat et de gouvernement du monde entier pour lutter contre le changement climatique. Nous avons également terminé l’année avec 90% du PIB mondial couvert par un objectif de neutralité carbone, désormais partagé par les deux plus gros émetteurs de CO2 au monde, à savoir les Etats-Unis et la Chine.1
Jess Williams, qui a assisté à la
COP26, porte un regard bien plus positif
que les médias sur les progrès réalisés
à cette occasion. Les médias se sont
fait l’écho des gesticulations de dernière
minute des délégations indienne et
chinoise, mais le principal résultat réside
dans la confirmation que le « mécanisme
à cliquet » prévu par l’Accord de Paris
de 2015 fonctionne. Il s’agit d’une
expression informelle employée pour
décrire l’obligation incombant aux pays de
revoir et de communiquer leurs objectifs
en matière de réduction des émissions
(« contributions déterminées au niveau
national » ou « CDN »). Les engagements
pris par les différents pays ont permis de
faire baisser les températures prévues
de 0,3 °C et, avec le raccourcissement
de cinq ans à un an de la périodicité de
révision des CDN, devront être réactualisés
d’ici la COP27 qui se tiendra l’an prochain
en Egypte (Figure 1).
Figure 1 : Engagements, objectifs et implications
Source : Climate Action Tracker/Guardian, novembre 2021
On retiendra notamment que l’objet de ces réunions est en train de changer : les discussions portaient davantage sur la nécessité de limiter le réchauffement à 1,5 °C d’ici 2030 que sur l’objectif de 2 °C d’ici 2050. Les discussions politiques ont donc pris en compte la science, qui montre qu’une diminution de 45% des émissions d’ici 2030 (par rapport à 2010) est requise pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C.2
Autres grandes avancées de la COP26 : 3
- Méthane : 109 pays se sont engagés à réduire leurs émissions de méthane de 30% d’ici 2030. Le CO2 focalise l’attention. Pourtant, s’attaquer au méthane permettrait d’atteindre plus rapidement les objectifs climatiques car il s’agit d’un gaz à effet de serre plus puissant (80 fois pire que le CO2 sur un horizon de 20 ans) qui reste moins longtemps dans l’atmosphère. Les Nations Unies estiment qu’une réduction de 45% des émissions de méthane d’ici 2030 atténuerait le réchauffement climatique de 0,5 °C d’ici 2040.
- Déforestation : 130 pays ont promis d’enrayer collectivement la déforestation et la dégradation des sols et d’inverser la tendance d’ici 2030.
- Mobilité verte : Un certain nombre d’entreprises et de pays ambitionnent de porter à 100% la part des motorisations électriques dans les ventes de voitures neuves à l’horizon 2035.
- Marchés du carbone : Les règles d’échange de droits d’émissions de CO2 ont été finalisées et elles auront des répercussions tant pour les Etats que pour les entreprises.
Malheureusement, l’année 2021 a également connu son lot de déceptions sur le plan environnemental. On pensait que la production d’électricité à partir du charbon avait enfin atteint son apogée en 2018. Or elle a augmenté de 9% en 2021.4 Les flambées ponctuelles des cours du gaz naturel, conjuguées à la forte reprise économique post-Covid 19, ont abouti à une forte hausse de la production de charbon en Chine et en Inde, tandis que la consommation de charbon aux Etats-Unis a rebondi pour la première fois depuis 2014 (+17%).5 Par conséquent, les émissions mondiales ont, hélas, retrouvé leurs sommets d’avant 2020.
Les chiffres montrent également que l’année 2021 a été plus chaude que n’importe quelle année antérieure à 2015 et compte parmi les sept années les plus chaudes jamais enregistrées.6 Cela est d’autant plus inquiétant qu’il s’agissait d’une année caractérisée par des conditions de type « La Niña », un phénomène qui se traduit normalement par des températures plus fraîches. En outre, les océans ont battu leur record de température pour la troisième année consécutive.7
Le Forum économique mondial a également publié son Rapport 2022 sur les risques mondiaux, dans lequel il a lancé un sérieux avertissement à l’humanité tout entière : l’inaction face au changement climatique est le principal risque auquel la planète sera confrontée au cours des 10 prochaines années. Viennent ensuite les phénomènes météorologiques extrêmes et la perte de biodiversité.
Compte tenu de cette menace, il est décevant de voir que les gouvernements à travers le monde traînent encore les pieds. Selon un rapport publié par l’Université d’Oxford lors de la COP26, les objectifs de neutralité carbone solides, assortis de plans de mise en œuvre clairs, ne représentent que 10% du PIB mondial.8 En matière de neutralité carbone, il est temps de passer des paroles aux actes.
Au cours du quatrième trimestre, plusieurs entreprises en portefeuille9 ont fait état d’évolutions encourageantes :
- Microsoft a organisé un événement consacré au développement durable au cours duquel la firme de Redmond a annoncé son intention de réduire la consommation d’eau de ses centres de données de 95% d’ici 2024, soit environ 5,7 milliards de litres d’eau à l’échelle mondiale. D’ici 2030, le géant américain vise une « empreinte eau » positive (c’est-à-dire réintroduire plus d’eau dans l’écosystème qu’il n’en consomme).10 Microsoft entend y parvenir en développant des solutions sur mesure pour réduire sa consommation d’eau sur ses différents sites d’exploitation, à commencer par la création d’une zone boisée et de zones humides autour de son centre de données situé dans le nord des PaysBas. Par ailleurs, Microsoft poursuit ses recherches sur le refroidissement par immersion liquide pour trouver des solutions de refroidissement sans eau. Enfin, le géant américain a annoncé qu’il était bien parti pour atteindre son objectif de réutiliser à 90% les matériaux électroniques grâce à la création de nouveaux centres Microsoft Circular.
- Adidas a obtenu une remarquable note ESG de 85 de la part de l’agence S&P, qui l’a classé à la sixième place sur l’ensemble de son univers mondial de notation.11 Dans son évaluation, S&P a souligné la qualité de l’approche d’Adidas en matière d’innovation, de gestion de la chaîne d’approvisionnement et de dialogue avec les consommateurs. S&P a également salué la volonté d’Adidas d’utiliser davantage de matériaux durables, de développer des services circulaires et d’atteindre ses objectifs ambitieux en matière de neutralité carbone.
- Orsted a fini l’année sur les chapeaux de roue, remportant un appel d’offres pour la construction d’un parc éolien offshore au large de l’Etat du Maryland, aux Etats-Unis. Fort d’une capacité de 846 mégawatts, ce parc éolien fournira de l’électricité verte à 250.000 foyers. Orsted porte ainsi sa capacité totale dans l’éolien offshore au niveau mondial à près de 20 gigawatts (GW) en 2021 (dont 4,5 GW pour les appels d’offre remportés sur l’année) et conserve sa position de leader de l’éolien offshore avec une part de marché d’environ 30%. En juin, l’entreprise a annoncé son intention de porter sa capacité dans l’éolien offshore à 30 GW d’ici 2030. Elle est désormais en avance sur son calendrier pour atteindre cet objectif.12
- Croda a annoncé la vente à Cargill Velocity de l’essentiel de ses activités dans les domaines de la technologie de performance et de la chimie industrielle pour un montant de 915 millions d’euros, une cession qui intervient à la suite d’une revue stratégique des activités quelques mois plus tôt. Croda pourra ainsi opérer sa mue en une entreprise spécialisée dans les soins aux consommateurs et les sciences de la vie, deux secteurs plus prospères et plus durables. L’entreprise peut désormais consacrer ses capitaux et ses ressources à la fourniture de solutions durables pour les consommateurs, aux soins de santé et aux technologies phytosanitaires.13
- Le produit Bovaer de DSM, un additif alimentaire unique qui réduit les émissions de méthane des bovins de plus de 30%, a obtenu sa première autorisation de mise sur le marché (AMM) pour les exploitations laitières et bovines en Amérique du Sud, au Brésil et au Chili, tandis qu’en Europe, les retours des autorités sanitaires sont « positifs », ce qui laisse entrevoir la délivrance d’une AMM. Les milliards de vaches laitières et allaitantes à travers le monde sont responsables de 44% des émissions mondiales de méthane. Si le secteur de l’élevage à l’échelle mondiale était un pays, il serait le troisième plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre après les Etats-Unis et l’Inde !14 Par conséquent, l’additif Bovaer peut contribuer grandement à la lutte contre le réchauffement climatique.
Faits marquants en matière d’engagement au T4 2021
Nous avons rencontré les dirigeants de plusieurs entreprises en portefeuille au cours de ce trimestre. Nous présentons ici des échanges intéressants avec l’une de ces entreprises :
Entrée d’une nouvelle entreprise dans le portefeuille au T4 2021
Nous avons initié une nouvelle position au sein de la stratégie :17
Threadneedle Global Sustainable Equity Composite
Rapport GIPS : Columbia Threadneedle Investments EMEA APAC
Devise de présentation : USD
Présentation des performances
Année civile | Performance brute de frais (%) | Performance de l’indice (%) | Performance de l’indice (%) | Ecart-type composite 3 ans (%) | Ecart-type indice de référence 3 ans (%) | Dispersion interne (%) | Nombre de portefeuilles | Total des actifs du composite (millions) | Total des actifs de la Société (milliards) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2021 | 19,21 | 18,45 | 19,04 | 14,52 | 16,83 | S/O | ≤ 5 | 177,7 | 161,3 |
2020 | 28,12 | 27,30 | 16,82 | S/O | S/O | S/O | ≤ 5 | 1,5 | 149,8 |
2019 | 33,17 | 32,32 | 27,30 | S/O | S/O | S/O | ≤ 5 | 1,2 | 140,5 |
Date de lancement : 31/12/2018
1. Columbia Threadneedle Investments EMEA APAC (la « Société ») déclare se conformer aux normes internationales en matière de présentation des performances d’investissement (GIPS®), et a préparé et présenté ce rapport conformément aux normes GIPS. Columbia Threadneedle Investments EMEA APAC a fait l’objet de vérifications indépendantes par Ernst & Young LLP pour les périodes comprises entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2020. Les rapports de vérification sont disponibles sur demande. Une société qui déclare se conformer aux normes GIPS doit mettre en place des politiques et des procédures de conformité à toutes les prescriptions applicables de ces normes. La vérification doit permettre de garantir que les politiques et les procédures de l’entreprise concernant la gestion du composite et des fonds en gestion collective, ainsi que le calcul, la présentation et la répartition de la performance, respectent les normes GIPS et ont été mises en œuvre à l’échelle de l’entreprise. La vérification ne garantit pas l’exactitude d’un quelconque compte-rendu spécifique de la performance. GIPS® est une marque déposée du CFA Institute. Le CFA Institute ne soutient ni ne promeut cette organisation, pas plus qu’il ne garantit l’exactitude ou la qualité du contenu du présent document.
2. La « Société » se définit comme l’ensemble des portefeuilles gérés par Columbia Threadneedle Investments EMEA APAC (avant le 1er janvier 2021, la Société était connue sous le nom Threadneedle Asset Management), qui inclut Threadneedle Asset Management Limited (TAML), Threadneedle International Limited (TINTL), Threadneedle Investments Singapore (Pte.) Limited (TIS) et Threadneedle Management Luxembourg S.A. (TMLSA), hors portefeuilles immobiliers investis en direct. La définition de la Société a été élargie en 2015 aux sociétés affiliées de Threadneedle Asset Management à Singapour. TAML et TINTL sont agréées et réglementées au Royaume-Uni par la Financial Conduct Authority (FCA). TINTL est également agréée en tant que conseiller en investissement par la U.S. Securities and Exchange Commission et en tant que Commodities Trading Advisor auprès de la U.S. Commodity Futures Trading Commission. TIS est réglementée à Singapour par la Monetary Authority of Singapore. TMLSA est agréée et réglementée au Luxembourg par la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF). Le 1er juillet 2020, Threadneedle Asset Management Malaysia Sdn. Bhd (TAMM) est sortie du périmètre de la Société. Columbia Threadneedle Investments est le nom de marque international du groupe de sociétés Columbia et Threadneedle. Le groupe de sociétés Columbia et Threadneedle, qui inclut différentes entreprises distinctes satisfaisant aux normes GIPS, a commencé à utiliser la marque internationale Columbia Threadneedle Investments le 30 mars 2015.
3. Une stratégie concentrée en actions internationales axée sur les entreprises de qualité et qui s’efforce d’obtenir des résultats positifs sur le plan du développement durable, conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, tout en générant des rendements financiers supérieurs. Le recours aux produits dérivés n’est pas autorisé. Le composite a été créé le 30 novembre 2018.
4. Les performances des portefeuilles utilisés dans les composites sont calculées sur la base des cours mondiaux officiels de clôture quotidiens et des flux de trésorerie en début de journée. Les performances des composites sont calculées à l’aide des pondérations en début de période et des performances mensuelles des portefeuilles sous-jacents. Les performances périodiques sont géométriquement combinées afin de dégager des performances à plus long terme. Les performances brutes de frais sont présentées avant imputation des commissions de gestion et de dépositaire, mais après déduction des frais de négociation. Les performances sont brutes de la retenue à la source. Les performances nettes de frais sont calculées en déduisant de la performance mensuelle brute la commission indiquée dans le barème représentatif. Les règles d’évaluation des investissements, de calcul des performances et de préparation des rapports GIPS, ainsi que la liste des descriptions de composites, la liste des descriptions de fonds en gestion collective dont la distribution est limitée et la liste des fonds en gestion collective distribués à grande échelle sont disponibles sur simple demande.
5. La dispersion des performances annuelles est mesurée par l’écart-type équipondéré des performances des portefeuilles représentés au sein du composite sur l’ensemble de l’année. La dispersion est présentée uniquement lorsqu’il y a 6 portefeuilles ou plus sur l’ensemble de la période sous revue. L’écart-type ne sera pas présenté, à moins qu’il existe des données de performance mensuelle sur une période de 36 mois.
6. L’écart-type ex-post annualisé sur 3 ans mesure la variabilité des performances brutes de frais des composites et de l’indice de référence sur les 36 mois précédents.
7. Le barème des commissions suivant constitue le barème représentatif actuel pour les clients institutionnels qui sollicitent des services de gestion d’investissement dans la stratégie désignée : 0,65% pour les 50 premiers millions de livres sterling ; 0,6% pour les 100 millions de livres sterling suivants ; 0,55% pour les 350 millions de livres sterling suivants ; 0,5% au-delà. Les données sur la performance brute de frais ne tiennent pas compte des commissions de gestion. Les informations suivantes illustrent, à l’aide d’un exemple hypothétique, l’impact cumulé des frais sur la performance d’un investissement. Si un portefeuille génère une performance annuelle de 10% pendant 5 ans avec une commission de gestion annuelle de 65 points de base, sa performance brute totale au bout de 5 ans serait de 61,1% tandis que sa performance nette de frais sur la même période ressortirait à 55,9%.
8. L’indice de référence de cette stratégie est l’indice MSCI AC World. L’indice MSCI AC World se veut un indicateur général de la performance des marchés actions du monde entier. Il comprend des titres de 23 pays développés et 24 pays émergents. Les performances de l’indice tiennent compte du réinvestissement des dividendes et autres bénéfices. Elles ne sont pas couvertes par le rapport des vérificateurs indépendants.
9. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs et il existe un risque de perte en capital. Il ne saurait être garanti qu’un objectif d’investissement sera atteint ou que les anticipations de rendement se réaliseront. La prudence est de mise lors de la comparaison de ces résultats avec ceux publiés par d’autres conseillers en investissement, d’autres véhicules d’investissement et indices non gérés, en raison de différences potentielles dans les méthodes de calcul.
10. 100% des actifs du composite étaient exonérés de frais à la fin 2019 et à la fin 2020.
2. La « Société » se définit comme l’ensemble des portefeuilles gérés par Columbia Threadneedle Investments EMEA APAC (avant le 1er janvier 2021, la Société était connue sous le nom Threadneedle Asset Management), qui inclut Threadneedle Asset Management Limited (TAML), Threadneedle International Limited (TINTL), Threadneedle Investments Singapore (Pte.) Limited (TIS) et Threadneedle Management Luxembourg S.A. (TMLSA), hors portefeuilles immobiliers investis en direct. La définition de la Société a été élargie en 2015 aux sociétés affiliées de Threadneedle Asset Management à Singapour. TAML et TINTL sont agréées et réglementées au Royaume-Uni par la Financial Conduct Authority (FCA). TINTL est également agréée en tant que conseiller en investissement par la U.S. Securities and Exchange Commission et en tant que Commodities Trading Advisor auprès de la U.S. Commodity Futures Trading Commission. TIS est réglementée à Singapour par la Monetary Authority of Singapore. TMLSA est agréée et réglementée au Luxembourg par la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF). Le 1er juillet 2020, Threadneedle Asset Management Malaysia Sdn. Bhd (TAMM) est sortie du périmètre de la Société. Columbia Threadneedle Investments est le nom de marque international du groupe de sociétés Columbia et Threadneedle. Le groupe de sociétés Columbia et Threadneedle, qui inclut différentes entreprises distinctes satisfaisant aux normes GIPS, a commencé à utiliser la marque internationale Columbia Threadneedle Investments le 30 mars 2015.
3. Une stratégie concentrée en actions internationales axée sur les entreprises de qualité et qui s’efforce d’obtenir des résultats positifs sur le plan du développement durable, conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, tout en générant des rendements financiers supérieurs. Le recours aux produits dérivés n’est pas autorisé. Le composite a été créé le 30 novembre 2018.
4. Les performances des portefeuilles utilisés dans les composites sont calculées sur la base des cours mondiaux officiels de clôture quotidiens et des flux de trésorerie en début de journée. Les performances des composites sont calculées à l’aide des pondérations en début de période et des performances mensuelles des portefeuilles sous-jacents. Les performances périodiques sont géométriquement combinées afin de dégager des performances à plus long terme. Les performances brutes de frais sont présentées avant imputation des commissions de gestion et de dépositaire, mais après déduction des frais de négociation. Les performances sont brutes de la retenue à la source. Les performances nettes de frais sont calculées en déduisant de la performance mensuelle brute la commission indiquée dans le barème représentatif. Les règles d’évaluation des investissements, de calcul des performances et de préparation des rapports GIPS, ainsi que la liste des descriptions de composites, la liste des descriptions de fonds en gestion collective dont la distribution est limitée et la liste des fonds en gestion collective distribués à grande échelle sont disponibles sur simple demande.
5. La dispersion des performances annuelles est mesurée par l’écart-type équipondéré des performances des portefeuilles représentés au sein du composite sur l’ensemble de l’année. La dispersion est présentée uniquement lorsqu’il y a 6 portefeuilles ou plus sur l’ensemble de la période sous revue. L’écart-type ne sera pas présenté, à moins qu’il existe des données de performance mensuelle sur une période de 36 mois.
6. L’écart-type ex-post annualisé sur 3 ans mesure la variabilité des performances brutes de frais des composites et de l’indice de référence sur les 36 mois précédents.
7. Le barème des commissions suivant constitue le barème représentatif actuel pour les clients institutionnels qui sollicitent des services de gestion d’investissement dans la stratégie désignée : 0,65% pour les 50 premiers millions de livres sterling ; 0,6% pour les 100 millions de livres sterling suivants ; 0,55% pour les 350 millions de livres sterling suivants ; 0,5% au-delà. Les données sur la performance brute de frais ne tiennent pas compte des commissions de gestion. Les informations suivantes illustrent, à l’aide d’un exemple hypothétique, l’impact cumulé des frais sur la performance d’un investissement. Si un portefeuille génère une performance annuelle de 10% pendant 5 ans avec une commission de gestion annuelle de 65 points de base, sa performance brute totale au bout de 5 ans serait de 61,1% tandis que sa performance nette de frais sur la même période ressortirait à 55,9%.
8. L’indice de référence de cette stratégie est l’indice MSCI AC World. L’indice MSCI AC World se veut un indicateur général de la performance des marchés actions du monde entier. Il comprend des titres de 23 pays développés et 24 pays émergents. Les performances de l’indice tiennent compte du réinvestissement des dividendes et autres bénéfices. Elles ne sont pas couvertes par le rapport des vérificateurs indépendants.
9. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs et il existe un risque de perte en capital. Il ne saurait être garanti qu’un objectif d’investissement sera atteint ou que les anticipations de rendement se réaliseront. La prudence est de mise lors de la comparaison de ces résultats avec ceux publiés par d’autres conseillers en investissement, d’autres véhicules d’investissement et indices non gérés, en raison de différences potentielles dans les méthodes de calcul.
10. 100% des actifs du composite étaient exonérés de frais à la fin 2019 et à la fin 2020.